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© Gérad Kosicki
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Hommage au blond qui hanta ces lieux. Nous essayâmes, à notre niveau de lui faire honneur.
Pour cette sortie à Buoux nous étions beaucoup, au moins douze, ce qui est beaucoup pour Buoux. Le temps est incertain mais nous sommes hyper motivés et nous comptons bien lui forcer la main.
Pour une fois nous partons à l'heure ce qui nous a permis d'arriver assez tôt sur la falaise.
Un beau ciel bleu parsemé de quelques nuages était là pour nous accueillir.
Nous voilà partis pour la marche d'approche. Non ce n'est pas la forêt du Corcovado mais presque, forte humidité, lumière diffuse, végétation épaisse.
Au fur et à mesure que nous montions l'humidité disparaissait et nous voilà enfin arrivés au dessus de la canopée :-)
Grande discussion sur les voies à faire et rapidement tout le monde se prépare.
On enfile les harnais, on met les casques et on s'encorde. Après les vérifications sécuritaires d'usage, ça y est enfin on grimpe.
Philip donne quelques conseils à Jérémy.
Quels progrès en un an !
Thomas s'arrache dans un passage délicat et s'en sort comme un chef. Hé oui, Buoux ce n'est pas facile !
Buoux ou pas, pas de problème, Margot et Perrine ne sont pas complexées et ne s'affolent pas sur le grès de cette falaise.
Aie, bientôt elles vont nous placer les dégaines.
Nous en avons profité pour grimper GVB (que je n'avais jamais faite) deux longueurs de toute beauté en 6a et 6b.
Carine, comme à son habitude, caracole dans les 6.
Mais nous ne nous sommes pas arrêtés là et continuons avec Dévers gondé 6a+, Vaisseau de pierre 6b+ et Miss terre 7a.
Michel, Florian et Thomas nous rejoignent ainsi que Anaïs qui bien que très discrète ne laisse pas sa place quand il faut grimper.
Voilà une journée de grimpe bien remplie qui se termine devant une bonne bière affalés dans les canapés moelleux du bar de Lourmarin.